voila une fic (pas morbide pour une fois) sur suzumiya haruhi no yuutsu.
"est-ce... est-ce que tu veux bien sortir avec moi?"
*qu'est-ce que je raconte? je perd la tête!?*
pensais-je.
elle était assez troublée, elle rougissait.
elle me répondit après quelques seconde de réflexion:
"je... je suis d'accord..."
voila une fic sur suzumiya haruhi no yuustu (honte à ceux qui ne connaissent pas!!!), je vous explique un peu la situation, haruhi est encore au collège, en seconde année, mikuru et yuki sont déjà la, en train de la surveiller. la situation n'est pas exactement comme elle l'est décrite dans l'anime mais sinon çà marcherait pas. voila, bonne lecture!^^
"je vous présente un nouveaux camarade, sasazuka yoichiro ."
dit le professeur.
je fis une courbette toute en disant
"je suis sasazuka yoichiro, ravi de faire votre connaissance!"
puis je repris
"je n'ai pas de centre d'intérêt particulier, mais j'aime bien dessiner. voila, j'espère qu'on s'entendra bien."
le professeur me désigna une place. j'allai m'assoir; je regardât la personne assise devant moi, j'étais assis au fond, c'était une fille, assez jolie, les cheveux bruns avec des rubans jaunes. l'uniforme lui sciait a merveille. ses grands yeux jaune affichait une expression de désintérêt total qui la rendait presque désagréable a regarder, elle se tenait la tête avec la main droite. une fois assis, je lui dit bonjour, mais elle ne me répondit pas. je ressayai. cette fois elle se retourna et me dit , a la limite du polis:
"qu'est-ce que tu veux?"
je lui répondît, gêné:
"je... je voulais juste te dire bonjour..."
elle me répondît encore plus désagréablement :
"ça t'aurait servit a quoi si j'aurais répondu?"
c'était limite elle disait a la prof que je l'embêtais.
après que j'eus marmonné quelques excuses, elle se retourna.
le cour se déroula normalement mis a part la rencontre avec cette fille.
après une matinée monotone, la sonnerie sonna enfin. la pause de midi avait débutée normalement. je pris mon bento et me dirigea vers la porte de la salle. une fois devant, je l'ouvris et fis un pas en avant. c'est a ce moment que je heurtai quelque chose. je regardai ce que j'avais heurte, c'était une fille. très mignonne, avec des cheveux châtain clair et des yeux de la même couleur, une poitrine pour le moins généreuse (bien que je ne m'intéressais pas a ces choses-là) et un air pleurnicharde et timide?.
elle se tenait le front, toute rouge, et avait l'air de ne plus savoir quoi faire ni dire. je lui demanda:
"ça va, je ne t'ai pas fais mal? je suis désolé, je n'ai pas fais attention..."
elle se mit a rougir encore plus et balbutia quelques excuse avant de disparaitre en courant.
si cette rencontre était asse inattendue, elle était assez agréable, contrairement a la première avec cette fille désagréable assise en face de moi. après avoir ramasse mon bento, je me dirigea vers les escalier pour monter sur le toit, où là au moins je serais tranquille.
une fois face a la porte qui donnait a l'extérieur, j'eus un pressentiment étrange. j'ouvris quand même la porte. c'est la qu'un livre me tomba sur la tête. je levis les yeux et je vis une fille en train de descendre l'échelle qui accédait au réservoir d'eau, c'est a dire au dessus de moi.
la fille ramassa son livre. elle avait des cheveux court et gris. elle était assez mignonne et était du genre "bibliothécaire". ses lunettes mettaient en valeur ses yeux marrons. elle avait l'air taciturne et désintéressée.
je lui demandai:
"tu ne t'excuse pas?"
elle me répondit simplement:
"excuse-moi."
puis elle remontât s'assoir au-dessus de ma tête. entretemps, j'entrevis sa petite culotte. bien qu'elle l'ai remarque, çà n'avait pas l'air de la gêner.
elle ouvrit son livre tout en commençant a manger son bento qui était reste a cote du réservoir d'eau.
je lui lança
"tu aime lire?"
elle me répondît oui d'un signe de tête.
je jeta un œil au titre de son livre. c'était un livre philosophique.
j'allai m'assoir sur un banc et commençai mon bento tout en regardant la ville, le collège étant situe sur une colline.
après la pause déjeuner, je rentamai, un après-midi cette fois, monotone.
a la fin des cours, je rentrai chez moi. c'est alors que je vis la fille désagréable. elle scrutait bizarrement les alentours, comme a la recherche de quelque chose. n'ayant point envie de lui adresser la parole, je fit un détour pour la contourner.
une fois chez moi, je m'allongea sur mon lit, fatigué, comme assommé par la vision de cette peste.
mais une voix brisât mon repos:
"yoichiro! vient faire a manger! c'est ton tour!"
c'était ma mère. bien qu'elle soit en parfaite santé et que mon grand-frère, itsugi, était a l'étranger depuis trois mois, elle avait garde cette coutume de "chacun son tour".
le lendemain, je pris mon petit-déjeuner et partit a l'école. une fois arrive, je commença une journée de cours monotone. a la fin du troisième cours, on me demanda d'aller ranger le matériel avec une certaine "suzumiya-san". seulement, voila, cette "suzumiya-san" c'était cette peste dont j'avais fait la connaissance hier. comme je ne savait pas ou était le local, je me contentait de suivre. c'est a ce moment que je m'aperçût que quand on ne voyait pas sa tête désagréable, elle était très charmante.
une fois le matériel pose, toujours dans le local, je demanda:
"tu est toujours aussi malpolie? c'est quoi ton nom?"
elle me répondît
"je suis suzumiya haruhi, çà te pose un problème?"
c'est a ce moment que quelqu'un ferma la porte sans nous remarquer.
je réagi:
"eh!"
mais en vain.
j'essayai d'ouvrir la porte mais c'était ferme a clef.
"mince alors!"
j'étais assez embêté: d'une j'étais enferme dans un local de sport, de deux j'étais enferme avec la reine des filles désagréables.
pendant que j'essayais d'ouvrir la porte, elle ne bronchait pas, elle se contentait de m'observait avec son regard désagréable.
je lui lançai:
" tu pourrait m'aider au lieu de rester là a m'observer?!"
elle répondît:
"je me fiche rester enfermée et je n'ai pas envie de t'aider"
*j'ai envie de lui mettre une baffe.... du calme... je n'ai pas le droit... essayons de régler çà a l'amiable*
pensais-je. puis je demandai:
"ton nom c'est haruhi, c'est ça? ça ne te fais vraiment rien d'être enfermée, qui plus est avec un garçon?"
elle me répondît:
"non, ça ne me fais rien. cette vie est monotone et futile. mon quotidien est répétitif et ennuyant. ça change un peu, même si ce n'est pas super, et ça ne me fais rien, j'ai l'habitude de m'ennuyer."
je fut touche par ses paroles. cette fille avait le même point de vue sur la vie que moi. ça expliquait a peu prés son comportement désagréable, moi aussi, en primaire et dans mon ancien collège on me disait que j'étais désagréable.
je lui dit:
"je vois, alors tu est comme moi. cette vie morne ne m'intéresse pas. je n'en ai que faire de ce quotidien, de cet avenir tout tracé. je me contente de suivre la voix qu'on m'a donne sans rouspéter, même si je tentait quelque chose ça ne changerai rien et ça ne ferai qu'empirer ma situation. je suis inutile dans la société. je ne suis qu'une personne de plus dans ce monde monotone."
haruhi, après un moment de silence, me répondît mélancoliquement:
"notre vie est insignifiante. un jour, en primaire, ma famille est allée voir un match de base-ball. il y avait des gens partout. j'ai été impressionnée. demande a mon père combien il y avait de personne dans ce stade. il m'a répondu qu'il pouvait contenir cinquante-mille personnes. le japon compte environ cent millions d'habitants. chez moi j'ai calcule. j'ai été très choquée. deux mille. ce stade n'était qu'un deux millièmes de la population du japon. mon quotidien que je considérais comme unique m'a paru monotone. tout ce que je considérais comme unique était commun a tout les habitants du japon. je n'étais qu'une poussière dans un désert."
son regard et sa voix étaient tristes. ses paroles étaient emplies de mélancolie.
je ne sais pas ce qui me pris, mais je la pris brusquement dans mes bras.
mon corps agissait inconsciemment.
*mais qu'est-ce que je fous? je n'ai pas le droit de faire çà! elle va me prendre pour un pervers! mon corps ne m'obéis plus.*
pensais-je.
je ne voyais pas son visage, mais elle devait être très surprise, je sentis un frisson parcourir son corps.puis je sentis une larme couler contre mon cou. elle pleurait.
*mais qu'est-ce que j'ai foutu? je vais me retrouver en taule! quel con! merde! je n'arrive plus a me contrôler!*
pensais-je.
mais contrairement a ce que je croyais, elle me rendit mon étreinte. elle me serrait très fort. son corps était chaud. le temps semblait s'arrêter. la chaleur qu'elle dégageait était agréable. je sentais le souffle de sa respiration, les battements de son cœur. elle avait l'air si fragile. j'avais l'impression que si je la serrais trop fort, ses os se briseraient. j'avais comme le besoin de la protéger. le souffle de sa respiration réchauffait agréablement mon cou. j'avais un besoin fou de ressentir sa chaleur contre moi, la garder dans mes bras pour l'éternité. je ne pourrai pas décrire se que je ressentais exactement. j'avais l'impression que je devais la protéger et la chérir, j'avais l'impression qu'elle était très fragile et qu'au moindre mouvement je pouvais la blesser. j'avais l'impression d'avoir un petit être mignon, fragile et tout petit dans mes bras. une petite fille que je devais protéger. je pouvais sentir l'odeur de ses cheveux, son odeur. une odeur réconfortante, douce, agréable. je ne peut pas dire combien de temps nous sommes restes comme çà. puis, a un moment, nous nous sommes lâchés. elle avait une expression gênée. je sentais encore la chaleur de son corps.
quelques instant plus tard, la porte s'ouvrit. et une élève nous trouva, elle a un bout de la pièce, moi a l'autre. l'élève nous demanda si on allait bien et ce qu'on faisait là, l'air gênée. mais j'avais autre chose en tête. haruhi aussi, sans doutes.
Jeu 22 Oct - 21:20
